L’Institut du Bien-Être Social et de Recherches (IBESR) exprime son profond chagrin et son indignation face à l’acte de viol perpétré contre un enfant de 3 ans, dans la commune de Dame-Marie, Grande-Anse. C’est un acte inqualifiable, dénonce l’IBESR qui exprime sa solidarité envers la famille de la victime.
Cette institution étatique exprime son engagement à collaborer avec les autorités judiciaires pour que justice soit rendue dans les plus brefs délais. Elle promet de tout mettre en œuvre pour assurer un suivi rigoureux de cette affaire et contribuer à la protection des droits de l’enfant.
Par ailleurs, l’IBESR rappelle que sa priorité est d’accompagner la famille dans les soins nécessaires pour la réhabilitation de l’enfant. Ainsi, il entend mobiliser toutes les ressources disponibles pour garantir un soutien psychologique, médical et social à la victime et à sa famille.
L’Institut du Bien-Être Social et de Recherches appelle à une prise de conscience collective et à une mobilisation de la société afin de mettre fin à ces atrocités. Il renouvelle sa détermination à œuvrer sans relâche pour assurer un environnement sûr et bienveillant pour chaque enfant, rappellant que la protection des droits des enfants demeure au cœur de sa mission.
Rappelons que la fillette a été violée par un homme de 25 ans, le 17 janvier 2024. L’horreur qu’a connue l’enfant est indescriptible puisque sa partie génitale a été abîmée jusqu’à l’anus, selon l’Office de la protection du Citoyen.
L’accusé, Wagler Luc, 25 ans, a été arrêté par les forces de l’ordre. Sa concubine, marraine de la victime, est également placée en garde à vue au commissariat de Jérémie pour complicité.