Dans une note de protestation publié le 20 février 2020, l’Office de la protection du citoyen( OPC) condamne énergiquement les actes de vandalisme recensés dans les locaux du cabinet de M. Samuel Madistin, lors du mouvement de protestation des policiers encagoulés exigeant la création d’un syndicat au sein de la PNH.
Selon l’OPC, les actes de violences enregistrés contre les locaux du cabinet Madistin et à d’autres endroits de la capitale constituent un acte d’intolérance et de barbarie mettant en péril les acquis démocratiques garantis par la constitution et les instruments internationaux de protection des droits de l’ homme notamment la liberté individuelle, le droit à la propriété privée et la liberté de circuler.
Même si la liberté syndicale est garantie par la loi mère du pays et la convention #87 de l’Organisation internationale du travail, l’OPC avance que les actes de violence vont à l’encontre de la jouissance de la liberté syndicale.
Plus loin, l’institut national de défense des droits de l’homme recommande aux instances concernées d’assumer leurs responsabilités en vue de garantir la protection des vies et des biens de tous les citoyens.
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