Jean Fritz Jean-Louis est accusé de toute part. Selon les dernières informations diffusées ces derniers jours, son nom colle plus fortement au dossier des « 7 mercenaires », au moment où son nom est évoqué dans une éventuelle négociation avec des bandits notoires de la capitale.
Blessé par balles le 13 novembre au Centre-ville, l’ancien Ministre, chargé des questions électorales sous le gouvernement d’Evans Paul, est soupçonné d’avoir été en négociation avec des bandits de village de Dieu pour rétablir la paix à l’entrée sud de la capitale, quand il a été blessé par l’un d’eux.
Pendant que cette information vient contredire les premières informations sur les circonstances de l’attaque à mains armées dont il a été l’objet, on se rappelle la révélation fracassante du Sénateur Jean Renel Sénatus à son sujet. Selon l’ancien Commissaire du Gouvernement de Port-au-Prince et Président de la commission Justice et Sécurité au Sénat, c’est Jean Fritz Jean-Louis qui a accueilli les 7 mercenaires étrangers à l’aéroport international Toussaint Louverture en février dernier.
Une nouvelle fois accusé, à la sortie de l’hôpital, l’ancien Ministre doit-il chercher à détacher son nom de ces dossiers.
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