La journée de la Terre est célébrée ce 23 avril 2019. Partout à travers le monde, des organisations, des citoyens, des gouvernements ont posé des actions visant à renforcer l’écosystème et sensibiliser sur l’importance de protéger la planète. En Haïti, cette célébration a été marquée, entre autres, par la signature d’un protocole d’accord entre l’USAID et le ministère de l’environnement (MdE) et des gestes concrets au profit de la terre.
Ce 23 avril 2019 au Parc National Quiskeya à Ganthier, un accord a été signé entre l’USAID et le ministère de l’environnement (MdE). Ce dernier, suivant ses termes, vise à « préserver les forêts, les ressources et les sols d’Haïti ». Un engagement mutuel entre ces partenaires contractants pour « l’amélioration de l’environnement » et « la conservation des ressources naturelles du pays ».
Pour mieux saisir le sujet, il s’en est conclue au bour d’une conférence durant laquelle les acteurs concernés ont eu à s’exprimer sur des sujets sensibles tels que : la pollution, le déboisement, la diversité économique dans le secteur de l’environnement.
D’autres gestes marquants… pour la terre
Pour aller au-delà de la parole, des actions ont aussi été posées. L’USAID a procédé à la distribution de 500 sacs réutilisables aux différents participants et prévoit la distribution de 4500 autres sacs dans des écoles et épiceries à Port-au-prince. De plus, les étudiants présents ont mis en Terre des plantes d’aloès et d’agane dans l’arboretum du Parc National Kiskeya.
« Je suis convaincu que ces mesures en faveur de la conservation amélioreront le paysage environnemental en Haïti » confie Garry Juste, Directeur Ad intérim de l’USAID. De son côté, le Directeur du Parc National Quiskeya, Geffard Ernst insiste sur les nouvelles opportunités économiques que pourraient générer « l’exploitation des espèces endémiques d’Haïti
Margella Douyon