Le vendredi 4 janvier 2018, treize pays du groupe de Lima avaient déclaré le second mandat de Maduro comme illégitime. Dès lors, ils ont demandé au président Maduro de céder le pouvoir en faveur de l’Assemblée national. Le président vénézuélien n’a pas toléré la déclaration du groupe qu’il qualifie de « cartel de Lima ».
Selon Maduro, le cartel de Lima cache le vrai but de cette résolution. Il déclare que : « Derrière cette déclaration du cartel de Lima, un coup d’Etat est en marche orchestré depuis Washington contre le gouvernement légitime et constitutionnel que je préside ».
L’avertissement du Président vénézuélien au cartel de Lima
«Je laisse 48 heures aux gouvernement du cartel de Lima pour rectifier leur politique interventionniste et grossière. Sinon le gouvernement vénézuélien prendra les mesures diplomatiques les plus urgentes et sévères pour défendre l’intégrité, la souveraineté et la dignité de notre Venezuela », a déclaré le président vénézuélien.
Par cet avertissement, le président vénézuélien, ferme la porte aux appels au dialogue et à l’ouverture. Seulement trois pays étaient présents lors de la prestation serment du second mandat de Nicolas Maduro. La Bolivie, Cuba et la Turquie.
Jean Eugene Jacques