Les mineurs represente plus de 50% des cas d’agressions sexuelles, d’apres Medecins sans frontiere. C’est l’une des réalité que la fondation zanmi timoun a dénoncé dans une note de presse. Elle est signée par la Coordonnatrice, Mme Guylande Messadieu, ce 4 mars 2018.
Il s’agit d’une note de presse pour marquer la journée mondiale de lutte contre l’exploitation sexuelle. Elle dénonce, entre autres, « les personnalités, membres des organisations nationales, |impliquées| dans ce |genre de| crime ». Elle cible aussi celles des « ONG et institutions étatiques»
agressions sexuelles et violations des droits humains
La Fondation ajoute que « les garcons et filles] en font l’experience dés leur plus tendre enfance ». et «elle est associée à toutes sortes de violations de leurs droits humains». En dépit du fait que les organisations nationales ne cessent pas de dénoncer ce crime.
Zanmi timoun laisse entendre que cela « requiert la participation active de la population dans la dénonciation de cet acte barbare» ,non sans faire aussi un rappel de l’article 19 de la convention relative aux droits de l’enfant.
Margella Douyon